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Cent Onze Haiku, de Bashô

Publié le par Nébal

Cent Onze Haiku, de Bashô

BASHÔ, Cent Onze Haiku, traduits du japonais par Joan Titus-Carmel, Lagrasse, Verdier, 2003, 128 p.

 

Ces petits machins,

Le fait est – j’y capte Z...

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C
Oh, pourtant cet ouvrage a de nombreuses qualités : les meilleures traductions de haïkus sont réalisées par Joan Titus Carmel. L'éditeur Verdier a eu l'intelligence de présenter les versions japonaises en caractères d'imprimerie (pour avoir le visuel) et en transcription (pour le son de la langue), puis en vis à vis, la traduction.<br /> <br /> Quant aux auteurs : Issa est sans doute plus abordable pour les français (on le trouve chez verdier).<br /> <br /> En très bref (je suis plus à l'aise pour le développer à l'oral qu'à l'écrit), le haïku est un poème de la dualité. Il est bref, de forme fixe, souvent marqué par la conception japonaise de composition en cercle littéraires (de mémoire za no bungaku ou za no bungei... je ne sais plus,) et quelques lectures au sujet des kigos (mots de saisons) permettent d'en saisir certaines clés symboliques.
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N
Oui, l'édition est sans doute bien vue à cet égard, c'est certain.<br /> <br /> Mais, franchement, ça ne passe pas, me concernant. Les poèmes classique (waka ? tanka ?) qui ont généré ensuite les haïkus ont pu me parler - ainsi dans les *Contes d'Ise*, par exemple -, mais les haïkus de Bashô (ou d'autres ?), non... Les thèmes me parlent sans doute moins, faut dire ; et si, disons, ce qui entoure le texte, dans ces principes de composition (dont cette idée de création collaborative, le cas échéant), peut bel et bien m'intéresser, le résultat final me laisse systématiquement froid...<br /> <br /> Bon, je ne suis déjà pas un grand amateur de poésie à la base, faut dire.<br /> <br /> Mais les haïkus, ça me dépasse.