STURGEON (Theodore), Un peu de ton sang, suivi de Je répare tout, [Some of Your Blood – Bright Segment], postface de Steve Rasnic Tem, [traduit de l’américain par] Odette Ferry [et] Véronique Dumont, Paris, Télémaque, coll. Entailles, [1961, 2006] 2008, 206 p.
Ma chronique se trouve dans le dossier consacré à Theodore Sturgeon dans le Bifrost n° 92, pp. 168-169.
Elle sera publiée à terme sur le blog de la revue, et j’en donnerai alors le lien ici.
Commentaires et tout ça d’ores et déjà bienvenu !
Note au passage : j’avais déjà chroniqué ce livre il y a longtemps, ici – mais mon opinion a évolué depuis, je suppose.
STURGEON (Theodore), Les Plus qu’humains, [More than Human], traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Michel Chrestien, in Romans et nouvelles – Cristal qui songe, Les Plus qu’humains et autres œuvres, préface de Jacques Goimard, Paris, Denoël – J’ai lu – Omnibus, [1953, 1957, 1977] 2005, pp. 533-710.
Ma chronique se trouve dans le dossier consacré à Theodore Sturgeon dans le Bifrost n° 92, pp. 165-167.
Elle sera publiée à terme sur le blog de la revue, et j’en donnerai alors le lien ici.
Commentaires et tout ça d’ores et déjà bienvenu !
Note au passage : il y a longtemps de cela, j’avais chroniqué l’omnibus Romans et nouvelles entier, ici.
ERIKSON (Steven), Les Jardins de la Lune (Le Livre des Martyrs, t. 1), [Gardens of the Moon – A Tale of the Malazan Book of the Fallen], préface de l’auteur, traduction [de l’anglais (Canada) par] Emmanuel Chastellière, Paris, Éditions Leha, [2000] 2018, 638 p.
Ma chronique se trouve dans le cahier critique du Bifrost n° 92, pp. 86-87.
Elle sera publiée à terme sur le blog de la revue, et j’en donnerai alors le lien ici.
VANCE (Jack), Lyonesse – intégrale, [Suldrun’s Garden – The Green Pearl – Madouc], traduit de l’américain par Arlette Rosenblum et E.C.L. Meistermann, traduction revue et complétée par Pierre-Paul Durastanti, illustration de couverture de Sébastien Hue, Saint-Laurent d’Oingt, Gallimard – Mnémos, [1983, 1986, 1989, 2003] 2018, 939 p.
Ma chronique se trouve dans le cahier critique du Bifrost n° 92, pp. 74-75.
Elle sera publiée à terme sur le blog de la revue, et j’en donnerai alors le lien ici.
Demain, les Révolutions ! Utopies & Anticipations révolutionnaires, anthologie établie et préfacée par Philippe Éthuin, [s.l.], publie.net, coll. Archéosf, 2018, 264 p.
WELLS (H.G.), Une Utopie moderne, traduit de l’anglais par Henry-D. Davray et Bronislaw Kozakiewicz, préface de Philippe Éthuin, [s.l.], publie.net, coll. Archéosf, [1905, 1907] 2018, 314 p.
En marge du Bifrost n° 92, à paraître bientôt, j’ai fait une chronique plus longue portant sur deux titres récemment édités par publie.net/Archéosf, à savoir l’anthologie Demain, les Révolutions !, compilant des textes essentiellement socialistes et tous français datant en gros du XIXe siècle, et « l’essai romancé » de H.G. Wells Une utopie moderne. Cette double chronique a été mise en ligne directement sur le blog de la revue, plus précisément ici.
LEVEL (Maurice), Les Oiseaux de nuit, préface de Philippe Gontier, édition établie et postfacée, avec une bibliographie, par Jean-Luc Buard, documents réunis par Philippe Gontier et Jean-Luc Buard, Cadillon, Le Visage Vert, [1913] 2017, 285 p.
Ma critique se trouve dans le Bifrost n° 91, pp. 154-155.
Elle sera en son temps mise en ligne sur le blog de la revue, et j’en donnerai alors le lien ici.
Je me demande si, concernant ce titre, il n’y a pas eu un peu de ce dont je parlais pour Dans l’épouvante et Mandragore de Hanns Heinz Ewers : « lu au mauvais moment »… Mes excuses à nouveau. J’ai décidément galéré pour les chroniques de ce numéro de Bifrost, c'était une période compliquée…