"Ulysse", de James Joyce
JOYCE (James), Ulysse, [Ulysses], nouvelle traduction sous la direction de Jacques Aubert, Paris, Gallimard, coll. Du monde entier, [1936] 2004, 981 p.
Aujourd’hui, je vais me prendre des pierres dans la gueule. D’autant plus que je n’ai pas vraiment d’arguments pour dire pourquoi je n’ai pas aimé Ulysse (qui est, comme vous le savez, un des romans les plus importants du XXe siècle). Mais voilà : je n’ai pas aimé Ulysse. Les pérégrinations de Stephen Dedalus et de Leopold Bloom m’ont laissé totalement froid. Enfin, non, d’ailleurs : elles m’ont fait suer (c’est que c’est long, Ulysse). Aussi ne puis-je guère me lancer ici dans une analyse de l’œuvre, et encore moins peser le pour et le contre de cette nouvelle traduction. Le seul enseignement que je puis en tirer, c’est que Finnegans’ Wake, c’est même pas la peine d’y penser. Bon, tant pis. Je m’en remettrai.
…
Si je survis à la lapidation.
Allez-y.
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