Mavitrepidante.fr

Publié le 21 Février 2009 par Nébal

Catégories : #Et le reste...

Tout d'abord, je suis vivant (et vous êtes morts, of course). Je ne voulais pas en dire trop parce que, ben, voilà, quoi, mais comme plusieurs d'entre vous se sont gentiment inquiétés de mon sort, quelques petites explications s'imposent, semble-t-il.

Adonc voilà : j'ai récemment fait une rechute de dépression, qui m'empêche à peu de choses près de faire quoi que ce soit, et notamment travailler et écrire des comptes rendus (lire, j'y arrive encore, sauf que ce !%$#&! de nouveau traitement me fait parfois voir double...). D'où, après quelque temps d'hésitation, je me suis rangé à l'avis de mon psychiatre, et suis parti refaire un petit exil dans une clinique de la banlieue de Toulouse (ah, nostalgie...) ; j'y suis depuis un peu plus d'une semaine, et ne sais pas combien de temps je vais y rester (probablement une ou deux semaines de plus, peut-être davantage). Or, là-bas, même si j'avais la force d'écrire sur mon blog (or, ben, non), cela ne serait quand même pas possible dans la mesure où je n'y dispose pas d'un accès Internet (si j'ai pu écrire ce message, c'est en raison d'une sortie exceptionnelle). Adonc voilà. D'où pause, d'une durée indéterminée. J'espère m'y remettre le plus tôt possible, mais je ne peux pas faire de promesse pour l'instant.

Merci encore aux gens qui m'ont fait part de leur inquiétude et/ou de leur soutien. Ca fait chaud au coeur. Merci, merci, merci.

Et à un de ces jours, j'espère (donc).

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Greyhunter

18/03/2009 15:02

Bon rétablissement Nébal! Regarde, au-dessus de moi il y a même un monsieur (ou un bot?) très bizarre que a l'air de vouloir t'encourager!

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nestor

12/03/2009 19:18

Sorry because I don't speak very welle in french! Des millions de personnes dans le monde, sont pour ainsi dire dans des conditions particulières. Ces conditions doivent être prises par l'univers médical comme des pathologies, quoi qu'il en soit nous devons admettre la présence de troubles du comportement. Le seul fait de traiter un quelconque disfonctionnement du comportement, impose la prudence. Par la complexité des relations entre les êtres humains, il est ridicule voir impossible chercher à classer le comportement humain entre normal et anormale. Prenons l'exemple d'un génocide parmi les contemporains: il est impossible de considérer le comportement de l'humanité entière normale, si quelque part sur la terre des êtres humains, ont un comportement sauvage en vers d'autres humains; alors qu'il existent des institutions à la taille de la terre pouvant imposer un semblant de justice. De la même manière, nombre de pays, sont des dictatures, où le traitement donné aux personnes sort de toute logique. Là les mêmes organisations restent imperméables. Par la suite, dans les médias, il se peu qu'ici et là, un fait scandalise, un forcené, armé ouvre le feu dans une maternelle, un groupe fait irruption dans un centre éducatif et blesse des personnes. Un acte a la définition de normale quand celui-ci est conforme à la moyenne, quand c'est ordinaire. Or la répétition en boucle par les médias, rends pour ainsi dire les actes le plus sauvages des actes ordinaires. QUESTION A DEUX CENTIMES! Avec quel force ou autorité morale ou éthique, un professionnel de la psychiatrie ou de la psychologie, pourrait considérer; une personne avec des faiblesses ou tendances à une pathologie du comportement, voir une "déviance", comme dans affecté d'une maladie mentale ou simplement de pas être dans un état normal? sincères salutations de Nestor Elias Ramirez Jimenez ou gramophone Joigny jeudi 12 mars 2009

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Sire Planchalapain Dixit

09/03/2009 23:22

Moi qui ne lisais jamais, ô nébal, tu m'as incité à rudoyer mes petits yeux larmoyants sur des livres mal écrits, aux couvertures dégueulassées par toute l'artistitude ratée du monde (et Caza); à renverser mon café sur des pages jaunies par les doigts graisseux de trois générations de lecteurs débiles; à abandonner une vie sexuelle débordante pour me tailler les mains à des pages empoisonnées de littérature de troisième main - quand les deux autres ne sont pas libres (ce qui n'arrive plus que rarement)... Pour toi j'ai abandonné Paulou Sulitzer, Beigbéder, Kikéfluque, la codéine et le Figaro... Merci. Les Révolutionnaires Planchapiniens te saluent bien bas.

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juko

09/03/2009 20:58

je ne suis de passage que depuis peu mais la vivacité et le style de tes critiques m'ont conquis! come back as soon as possible!

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Bruno

08/03/2009 14:34

Bon courage, tiens bon et reviens chez les fous quand tu iras vraiment bien. ;)

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MOI

07/03/2009 21:12

nebal, tu me manques....