KUANG (R.F.), La Guerre du Pavot, traduit de l’anglais (États-Unis) par Yannis Urano, Arles, Actes Sud, coll. Exofictions, [2018] 2020, 565 p.
Ma chronique figure dans le cahier critique du Bifrost n° 100, pp. 86-87.
Le moment venu, elle sera reprise sur le blog de la revue, et j’en donnerai le lien ici, avec la vidéo – mais n’hésitez pas à réagir d’ores et déjà si jamais.
HELD (Serge Simon), La Mort du fer, préface de Juan Asensio, Talence, L’Arbre Vengeur, [1931] 2019, 420 p.
Ma chronique, rédigée pour le Bifrost n° 98, a été mise en ligne directement sur le blog de la revue, dans la rubrique « Objectif Runes en plus », et vous la trouverez ici.
HIGASHINO Keigo, Les Miracles du Bazar Namiya, [ナミヤ雑貨店の奇蹟Namiya zakkaten no kiseki], traduit du japonais par Sophie Refle, Arles, Actes Sud, coll. Exofictions, [2012] 2020, 370 p.
Ma chronique figure dans le cahier critique du Bifrost n° 98, pp. 100-101.
Le moment venu, elle sera reprise sur le blog de la revue, et j’en donnerai le lien ici, avec la vidéo – mais n’hésitez pas à réagir d’ores et déjà si jamais.
LEMAN (Bob), Bienvenue à Sturkeyville, traduit de l’anglais (États-Unis) par Nathalie Serval, illustré par Stéphane Perger et Arnaud S. Maniak, Paris, Scylla, 2019, 184 p.
Ma chronique figure dans le cahier critique du Bifrost, n° 98, pp. 94-95.
Le moment venu, elle sera reprise sur le blog de la revue, et j’en donnerai le lien ici, avec la vidéo – mais n’hésitez pas à réagir d’ores et déjà si jamais.
EDIT : la critique est en ligne, et vous pouvez la lire ici.
RENARD (Maurice), Celui qui n’a pas tué, édition établie et préfacée, avec une bibliographie, par Claude Deméocq, Cadillon, Le Visage Vert, [1927-1930] 2019, 184 p.
RENARD (Maurice), Le Maître de la lumière, présentation de Roger Musnik, Paris, Bibliothèque Nationale de France, coll. Les Orpailleurs/Science-fiction, [1933, 1947] 2019, 303 p.
Mon focus sur ces deux livres de Maurice Renard a été publié directement en ligne dans la rubrique « Objectif Runes en plus – 1 » du Bifrost, n° 97, et vous la trouverez ici.
GORODISCHER (Angélica), Trafalgar, traduit de l’espagnol (Argentine) par Guillaume Contré, [Clamart], La Volte, [1979] 2019, 215 p.
Ma chronique figure dans le cahier critique du Bifrost, n° 97, pp. 106-107.
Le moment venu, elle sera reprise sur le blog de la revue, et j’en donnerai le lien ici, avec la vidéo – mais n’hésitez pas à réagir d’ores et déjà si jamais.
TCHAIKOVSKY (Adrian), Chiens de guerre, [Dogs of War], roman traduit de l’anglais par Henry-Luc Planchat, Paris, Denoël, coll. Lunes d’encre, [2017] 2019, 318 p.
Ma chronique figure dans le cahier critique du Bifrost, n° 97, pp. 101-102.
Le moment venu, elle sera reprise sur le blog de la revue, et j’en donnerai le lien ici, avec la vidéo – mais n’hésitez pas à réagir d’ores et déjà si jamais.
MARTIN (George R.R.), Feu et sang, vol. 2, [Fire and Blood], traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Marcel, Paris, Pygmalion, [2018] 2019, 480 p.
Ma chronique de (la seconde partie de) ce livre, sorte de préquelle au « Trône de Fer », a été publiée directement en ligne dans la rubrique Objectif Runes en Plus #2 associée au n° 96 de Bifrost, et vous la trouverez ici.
GIBSON (William), Lumière virtuelle, [Virtual Light], traduit de l’anglais (américain) par Guy Abadia, Paris, J’ai lu, coll. Science-fiction, [1993, 1995] 1999, 444 p.
GIBSON (William), Idoru, [Idoru], traduit de l’anglais (américain) par Pierre Guglielmina, Paris, J’ai lu, coll. Science-fiction, [1996, 1998] 1999, 349 p.
GIBSON (William), Tomorrow’s Parties, [All Tomorrow’s Parties], traduit de l’anglais (américain) par Philippe Rouard, Vauvert, Au Diable Vauvert – Paris, J’ai lu, coll. Science-fiction, [1999, 2001] 2004, 317 p.
Ma critique de la « Trilogie du Pont » de William Gibson, laquelle est composée des romans Lumière virtuelle, Idoru et Tomorrow’s Parties, se trouve dans le dossier consacré à l’auteur dans le n° 96 de Bifrost, pp. 159-164.
Le moment venu, elle sera mise en ligne sur le blog de la revue, après quoi je la reprendrai ici, avec la vidéo qui ira bien.
Mais n’hésitez pas à réagir dès maintenant !
EDIT : la critique a été mise en ligne, vous la trouverez ici.
PROJECT ITOH, Genocidal Organ, [Gyakusatsu kikan虐殺器官], traduit du japonais par Jean-Louis de la Couronne, [Vanves], Pika, coll. Pika Roman / SF, [2007] 2019, 315 p.
Ma critique de ce premier roman de Project Itoh se trouve dans la rubrique Objectif Runes du Bifrost n° 96, pp. 79-80.
Le moment venu, elle sera diffusée en ligne sur le blog de la revue, après quoi je la reprendrai ici, et ferai la vidéo qui ira avec.
Mais n’hésitez pas à réagir d’ici-là !
EDIT : la critique a été mise en ligne, vous la trouverez ici.